Economie et Statistiques

OBJECTIFS :

La licence de Sciences Économiques et de gestion fournit une formation complète de base en économie et gestion, en apportant aux étudiants les connaissances fondamentales sur les phénomènes économiques ainsi que sur les instruments d’analyse nécessaires à leur compréhension. Le programme est conçu pour permettre : une sortie sur le marché du travail, une poursuite d’études en master ou une réorientation en cours des options vers des formations davantage « professionnalisées».

L’offre de formation est bâtie sur le principe d’une spécialisation progressive à partir du semestre 3 de la licence. Celle-ci prend la forme d’une augmentation du poids relatif accordé aux enseignements optionnels qui passe de 20% en L2 à 40% en L3. Outre l’intérêt d’éviter une spécialisation trop précoce, cette organisation permet de proposer des options de formation individualisées, grâce à la capitalisation de crédits associée à la validation d’Unités d’Enseignement (UE). Des options sont également prévues en L1 mais ne sont pas attachées à une spécialisation particulière. Ces dernières représentent 6 crédits, soit un dixième de l’ensemble des crédits délivrés au cours de la première année de licence.

• La spécialisation progressive débouche sur deux spécialités offertes par l’institut.

OPTIONS  ECONOMIE ET SOCIETE (ES)

OBJECTIFS :

L’option de formation « Économies et Sociétés » (ES) de la spécialité « Économie Appliquée » propose à l’étudiant une formation lui permettant d’analyser les questions posées à l’économiste en matière de politique économique, de management, d’urbanisme, de développement durable… depuis une posture de sciences sociales ou de socio-économie.

Il s’inscrit en cela dans le renouveau actuel profond des sciences économiques qui se déploie à partir du travail en commun avec les autres sciences sociales et se positionne aux avant-postes de l’analyse des phénomènes récents : crise économique, crise sociale, crise environnementale, malaise au travail, hausse des inégalités, mesure de la richesse ou du bonheur « réel ».

Cette approche pluridisciplinaire, dans le prolongement de la filière ES, permet d’analyser avec esprit critique le fonctionnement contemporain de nos économies et de maîtriser les savoirs et techniques permettant d’acquérir une véritable expertise sur des domaines variés.

Cette classe préparatoire s’intègre dans la licence SEG, spécialité Économie Appliquée, options Économie et Sociétés. C’est une formation diplômante qui ouvre la voie à des formations sélectives de la filière économique et sociale en proposant une préparation spécifique aux concours. L’objectif est ainsi d’allier formation universitaire « classique » et techniques propres aux classes préparatoires dans les domaines de l’économie, de la gestion et des sciences sociales. Elle permet de donner aux étudiants un haut niveau technique et réflexif.

En économie et en gestion, le travail d’expertise des praticiens comme des théoriciens s’appuie de plus en plus sur des méthodes formalisées : études statistiques, enquêtes de terrain, collectes et traitements de données, modélisation.

L’OPTION DE FORMATION MISEG :

S’adresse essentiellement aux étudiants désireux d’acquérir puis de valoriser des compétences solides dans les domaines scientifiques suivants : mathématiques, statistique et informatique.

Ses objectifs pédagogiques sont triples : apprendre à collecter et traiter des données statistiques ; apprendre à formaliser une réflexion sur des données ; apprendre les techniques informatiques usuelles de l’économiste et du gestionnaire.

DÉBOUCHÉS

L’option « Économie et Sociétés » garantit l’entrée dans l’ensemble des Masters d’économie et de gestion de la faculté.

Il est évidemment adapté à la préparation aux concours présentant une dimension bi-disciplinaire  mais prépare plus généralement des économistes ouverts à la question sociale, et aptes à l’analyser dans les sphères privées et publiques.

Méthode Le options de formation « Économies et Sociétés » valorise le travail autonome des étudiants et les formes de participation active à la formation : travaux de synthèse, exposés, débats, comptes rendus de lecture, dissertations. Il privilégie les méthodes qui permettent de développer la capacité d’écoute et le développement d’arguments, à l’écrit et l’oral, construits pour analyser et convaincre.

 Cette filière permet en priorité de préparer les concours le options « Économies et Sociétés – classe préparatoire » garantit l’entrée dans l’ensemble des Masters d’économie et de gestion de l’institut. La poursuite d’études en master .

La candidature aux concours. Couplé aux enseignements communs de la licence, l’option MISEG offre une formation adéquate pour réussir les concours de la fonction publique et les concours d’entrée dans les Écoles de commerce, qui comportent généralement des épreuves sélectives de mathématiques et de statistiques.

OBJECTIFS :

En économie et en gestion, le travail d’expertise des praticiens comme des théoriciens s’appuie de plus en plus sur des méthodes formalisées : études statistiques, enquêtes de terrain, collectes et traitements de données, modélisation. L’option de formation MISEG s’adresse essentiellement aux étudiants désireux d’acquérir puis de valoriser des compétences solides dans les domaines  scientifiques suivants : mathématiques, statistique et informatique. Ses objectifs pédagogiques sont triples : apprendre à collecter et traiter des données statistiques ; apprendre à formaliser une réflexion sur des données ; apprendre les techniques informatiques usuelles de l’économiste et du gestionnaire.

DÉBOUCHÉS

La candidature aux concours. Couplé aux enseignements communs de la licence, l’option MISEG offre une formation adéquate pour réussir les concours de la fonction publique et les concours d’entrée dans les Écoles de commerce, qui comportent généralement des épreuves sélectives de mathématiques et de statistiques.

DUREE DE LA FORMATION : 3 ans en 6 semestres.

COUT DE LA FORMATION : Première et deuxième  année de licence : 575.000 FCFA dont 75.000FCFA de droits d’inscription et 50.000 FCFA par mois. .

Licence 3 : 675.000 FCFA dont 75.000FCFA de droits d’inscription et 60.000 FCFA par mois.

La cyber sécurité fait appel à des techniques de sécurité des systèmes d’information et s’appuie sur la lutte contre la cybercriminalité et sur la mise en place d’une cyberdéfense.

LA FORMATION SUR LA CYBERSECURITE, ouverte aux titulaires d’une deuxième année de Licence (L2), recouvre l’ensemble des mesures de sécurité susceptibles d’être prises pour se défendre contre les cyberattaques que sont :

• Les utilisations d’internet (cybercriminalité) à des fins criminelles ;
• L’espionnage politique, industriel ou économique ;
• Les attaques contre les infrastructures critiques (transport, énergie, communication…) à des fins de sabotage ou de gains faciles.

L’augmentation spectaculaire du niveau de sophistication et d’intensité des cyberattaques a conduit ces dernières années la plupart des organisations à renforcer leur résilience et à adopter des stratégies nationales de cyber sécurité.

Ainsi, cette formation initie les techniciens supérieurs en cyber sécurité et forme les professionnels en sécurité des systèmes d’information notamment. En résumé, elle a pour mission de former les auditeurs qui sont chargés dans les entreprises notamment de :

• Implémenter et mettre à jour la politique de sécurité du système informatique ;
• Auditer et à vérifier la conformité de la politique de sécurité de l’entreprise ;
• Sécuriser l’entreprise contre les cybers attaques ;
• Entreprendre des tests de sécurité pour vérifier la sécurité des son systèmes d’information et informatique ;
• Assurer la protection des actifs de l’entreprise.

         UN LIEN FORT AVEC LE MONDE PROFESSIONNEL

Le besoin des professionnels des spécialistes sur la cybersécurité est très ressenti dans toutes les entreprises. La formation s’inscrit dans le but de :

• Développer de logiciels de sécurité,
• Réaliser de prestations d’audit et de conseil en cyber sécurité
• Développer et d’intégrer de solutions de sécurité telles que la gestion des identités et des accès (IAM), la prévention des pertes de données (DLP), etc.

UN CORPS PROFESSORAL COMPOSE D’UNIVERSITAIRES ET DE PRATICIENS RENOMMES

Les cours sont dispensés par des intervenants reconnus dans leur domaine, professeurs d’universités et praticiens qui élaborent des enseignements spécifiques.

CONDITIONS D’ACCES ET PREREQUIS

Cette formation s’adresse aux titulaires de Bac ou diplôme équivalent. Les personnes non titulaires d’un Bac peuvent, en fonction de leur expérience professionnelle, effectuer une demande d’admission sur dossier.

cibles L3

Niveau(x) de recrutement

BAC+2

Public ciblé

Obtention d’une L2 (ou équivalent)

INSERTION PROFESSIONNELLE

La formation cyber sécurité vise les débouchés ci-après :

•  Technicien en sécurité des systèmes d’information ;
•  Technicien support ;
•  Assistant Auditeur, Assistant contrôleur, Assistant évaluateur ;
•  Développeur dans le domaine de la sécurité ;
•  Architecte de sécurité ;
•  Technicien en sécurité des systèmes d’information ;
• 

Cette formation permet également de renforcer les capacités des professionnels (avocats, huissiers, notaires, magistrats, délégués à la protection des données, juristes d’entreprise, responsables de sécurités, responsables de qualité, etc.) qui sont confrontés aux contraintes sécuritaires liées au développement des technologies numériques dans leurs secteurs

A l’issue de la formation les apprenants peuvent intégrer notamment :

• les entreprises classiques ou tournées vers l’innovation (Technologies avancées, Télécoms, secteurs bancaire et assurance, entreprises de vente à distance, archivage électronique, entreprises innovantes dans tous les domaines, fourniture d’accès, instruments de référencement…) ;
• entreprises audiovisuelles ;
• les agences et organes de régulation dédiés aux TIC, à l’audiovisuel et aux télécommunications ;
• les cabinets d’experts judiciaires, de notaires, d’huissiers et d’avocats ;
• les cabinets se spécialisant dans la Propriété Intellectuelle liée aux Nouvelles Technologies
• les ONG et les institutions internationales intervenant pour l’essentiel dans le domaine du numérique et des technologies avancées ;
• les collectivités locales ;
• l’audiovisuel, la production musicale, la presse, images, jeux vidéos…

Après l’obtention d’un diplôme national de Licence, il est possible pour l’étudiant.e de s’engager dans une mention de master, en fonction de son projet personnel et professionnel (accès soumis à l’examen d’un dossier de candidature).

COUT DE LA FORMATION :

• Professionnel : 800.000 FCFA et un droit d’inscription 40.000 FCFA ;
• Etudiant : 700.000 F CFA et un droit d’inscription 30.000 F CFA

• DOMAINE: MEDECINE, PHARMACIE, SCIENCES DE LA SANTE ET MEDECINE VETERINAIRE

  MENTION: PROTHESE DENTAIRE
  SPECIALITE: PROTHESE DENTAIRE

  DESCRIPTION METIER

  Le prothésiste dentaire est une ou une spécialiste de la fabrication de DMSM (Dispositif Médical Sur Mesure). Il ou elle conçoit, organiser et encadrer le personnel intervenant dans toutes les opérations nécessaires à la réalisation de prothèses dentaires (bagues, couronnes, appareils dentaires, …).

  C’est à partir des empreintes de la cavité buccale du patient, effectuées par le chirurgien-dentiste, que le prothésiste dentaire débute son travail.

  Il choisit le matériau qui s’avère le plus adapté : céramique, résine, métaux (or, platine, etc.), pâtes thermoplastiques, en tenant compte de la demande du patient (une prothèse en céramique est plus coûteuse qu’une prothèse métallique) et de l’emplacement de la prothèse dans la bouche.

  Puis il sculpte, moule ou modèle. Une fois la prothèse achevée et essayée sur le patient, il peut intervenir à nouveau, à la demande du praticien, pour d’éventuelles finitions et ajustements.

  Les prothésistes dentaires exercent souvent dans des laboratoires, des cabinets dentaires ou dans des centres de santé, des mutuelles et des hôpitaux. Quelques-uns exercent en libéral.

  Le travail du prothésiste exige évidemment une minutie et une habileté manuelle extrême. C’est un métier de très haute précision. Les techniques de conception et de fabrication assistées par ordinateurs (CAO / CFAO) ont modifié l’exercice quotidien de ce secteur d’activité. Le métier implique également de bien connaître les matériaux utilisés pour la conception de ces DMSM ainsi que la réglementation encadrant la fabrication ainsi que la maîtrise des règles d’hygiène et de sécurité. Le prothésiste dentaire doit se former continuellement tout au long de sa vie professionnelle. 

  Les prothèses, dont le coût peut être très élevé, doivent répondre à des impératifs fonctionnels, biologiques et esthétiques. Le prothésiste doit donc posséder une connaissance parfaite de la morphologie dentaire, un sens de l’harmonie et de l’esthétique faciale.

  Alors que le marché connait une forte demande impulsée par la quête d’esthétisme et le vieillissement de la population, les entreprises peinent à recruter des prothésistes dentaires.

  Études / Formation pour devenir Prothésiste dentaire

  Pour devenir prothésiste dentaire, le niveau bac est le minimum exigé. Les diplômes de niveau bac permettent d’accéder à des fonctions d’assistant prothésiste, les diplômes de niveau bac + 3 à la fonction de prothésiste

  Exemples de formations : 

  Niveau bac (assistant prothésiste)

  • BTM (brevet technique des métiers) prothésiste dentaire : accessible après le bac pro en 1 an via l’alternance

  niveau bac + 2 ( Prothésiste Dentaire)

  • BTMS (brevet technique des métiers supérieur) prothésiste dentaire : accessible après un BTM en 2 ans ou après un bac général en 3 ans
  • BTS prothésiste dentaire.

  Le BTMS prothésiste dentaire est obligatoire pour gérer un laboratoire de prothèse dentaire. 

  niveau bac + 3  (pour se spécialiser)

  • Bachelor Prothésiste Dentaire Spécialisé en Techniques Numériques (être titulaire d’un BTS ou BTMS de Prothèse Dentaire (niveau 5) ou justifier de 5 ans d’expériences professionnelles dans le métier de Prothésiste Dentaire après l’obtention du BAC Pro ou du BTM.

  A noter pour les salariés d’un niveau V (niveau BEP) dans le domaine de la prothèse dentaire ou disposant d’au moins 2 ans d’expérience, possibilité de passer le CQP technicien en prothèse dentaire spécialisé en orthopédie dento-faciale. 

  Salaires

  Le salaire mensuel minimum brut pour un prothésiste salarié débutant est de 450.000.

  Evolutions de carrière

  Possibilité de diriger un laboratoire de prothèse dentaire, de créer ou reprendre une entreprise.

  Des formations de perfectionnement existent (BTMS).Cette évolution n’est évidemment envisageable qu’après plusieurs années de pratique et un investissement financier important.

  Cout de la formation

  Droit d’inscription :

  Mensualité : Pour ces informations contacter M. THIARE au 77 533 70 69